L’euro numérique, une monnaie numérique de la Banque centrale (CBDC) en cours de développement par la Banque centrale européenne, a été présenté comme une option plus sûre que les crypto-monnaies émises à titre privé, en particulier les stablecoins.
Les revendications de l’euro numérique offrent une protection de la vie privée plus supérieure par un membre du conseil d’administration de la BCE, Fabio Panetta, qui a critiqué l’agenda lucratif des émetteurs privés de stablecoins.
« Nous ne sommes pas comme des entreprises privées », a déclaré Fabio Panetta dans une interview accordée au Financial Times. « Nous n’avons aucun intérêt commercial à stocker, gérer ou monétiser les données des utilisateurs. »
La BCE a fait de nombreuses démarches concernant son projet de CBDC, menant une consultation publique sur le projet. En avril dernier, Blockchain.News a rapporté la publication des résultats de la consultation publique. Il a été découvert que « la confidentialité est la caractéristique la plus importante d’un euro numérique, tant pour le public que pour les professionnels, en particulier les commerçants et autres entreprises ». Le rapport affirme que les groupes interrogés se disent « favorables aux exigences visant à éviter les activités illicites, moins d’une réponse sur dix du public se montrant favorable à un anonymat total. »
Corroborant ces affirmations, Panetta a affirmé que « si la banque centrale s’implique dans les paiements numériques, la vie privée sera mieux protégée […] Le paiement sera effectué, mais personne dans la chaîne de paiement n’aura accès à toutes les informations. »
De nombreux utilisateurs dans le monde se sont tournés vers les actifs numériques émis à titre privé, comme le bitcoin (BTC), l’ethereum (ETH), le XRP et le Litecoin (LTC), pour n’en citer que quelques-uns. L’un des points d’attraction est l’anonymat que ces crypto-monnaies et leurs réseaux sous-jacents offrent aux utilisateurs, une caractéristique que beaucoup craignent qu’une monnaie numérique émise par un gouvernement puisse manquer.
Le responsable de la BCE a noté qu’elle avait effectué des tests hors ligne pour « de petits montants, dans lesquels aucune donnée n’est enregistrée en dehors des portefeuilles du payeur et du bénéficiaire. » Sur cette base, M. Panetta maintient que l’euro numérique sera différent, ce dont la réalité sera découverte à mesure que le développement de l’euro numérique proposé progressera. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)